Georges Romathier s’est toujours défié des modes et des étiquettes, et son œuvre ne peut être réduite à aucune catégorie de l’histoire de l’art moderne et contemporain. Si, pour un temps, sa peinture fut associée au “ Paysagisme abstrait ” cette catégorie reste intatisfaisante pour restituer toutes les dimensions d’une œuvre échappant à tout dogmatisme.
Initialement, Georges Romathier travaille toujours d’après nature. Toutefois son travail dépasse la notion conventionnelle de représentation, et il s’agit plutôt de restituer une perception organique du vivant. C’est pourquoi sa démarche peut être située autant dans l’abstraction que dans la figuration, ou plus justement dans leur entre-deux.
La forme gestuelle de ce travail ne doit pas tromper, il ne s’agit ni d’ornement, ni de théâtralité, la formule la plus juste est écrite par le peintre lui-même : « Une gestualité qui ne se complaît pas dans sa graphie mais essaie de cerner une réalité vécue. »
Cette réalité, c’est l’expérience du peintre devant la nature, mieux, dans la nature, car c’est d’une participation organique dont il s’agit. « La peinture reste pour moi essentiellement sensorielle. » dit Georges Romathier.
Initialement, Georges Romathier travaille toujours d’après nature. Toutefois son travail dépasse la notion conventionnelle de représentation, et il s’agit plutôt de restituer une perception organique du vivant. C’est pourquoi sa démarche peut être située autant dans l’abstraction que dans la figuration, ou plus justement dans leur entre-deux.
La forme gestuelle de ce travail ne doit pas tromper, il ne s’agit ni d’ornement, ni de théâtralité, la formule la plus juste est écrite par le peintre lui-même : « Une gestualité qui ne se complaît pas dans sa graphie mais essaie de cerner une réalité vécue. »
Cette réalité, c’est l’expérience du peintre devant la nature, mieux, dans la nature, car c’est d’une participation organique dont il s’agit. « La peinture reste pour moi essentiellement sensorielle. » dit Georges Romathier.